Comment ne pas ressentir l'effroi après cette horreur survenue ce matin à Toulouse ?
Comment ne pas ressentir ce besoin de se rapprocher les uns les autres, qui que nous soyons, d'où que nous soyons, quelque soit notre religion, notre couleur de peau après ce drame et faire face
ensemble ?
Se recueillir, réfléchir, se recueillir et réfléchir encore et encore sur pourquoi cette horreur que l'on croyait disparue.
Comment est-il imaginable que l'on puisse tirer sur des êtres humains, des enfants parce que juifs ?
Il me revient l'attentat perpétré devant l'école Nah'alat Moché, rue Anatole France à Villeurbanne, destiné à faire un maximum de morts car la bombe était programmée pour l'heure de la sortie.
Plus jamais çà disait-on encore ?
Est-ce donc encore possible que cette barbarie ?
Encore cette lancinante question !
Pourquoi ? pourquoi ?
Je sais que je n'arrêterai jamais jusqu'à la fin de mes jours de me poser cette question, cette vraie question !
François Bayrou après avoir rencontré la communauté de Toulouse s'est rendu ce soir 19 mars à Grenoble.
Nous étions un certain nombre de la fédé du rhône à avoir fait le déplacement.