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Elections internes !
Statutairement les instances départementales doivent être renouvelées.
Avec beaucoup de naïveté j'avais estimé que suite à nos faramineux résultats aux diverses élections depuis 2008, au chaos provoqué par les désirs d'avenir personnel lors des municipales de 2008, notre petite fédération qui se confine presque au virtuel saurait avoir la décence de s'unir et se rassembler en ne présentant qu'une seule liste.
Cela n'a pas été le cas hélas.
Mais que me chaut ces bisbilles entre adultes consentants !
Il nous reste moins d'un an pour battre le pavé et tâcher de mettre François Bayrou au second tour de l'élection centrale de notre pays.
Je donnerai toute mon énergie pour cela.
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MOUVEMENT DEMOCRATE DU RHÔNE COMMUNIQUE DE PRESSE 22 MARS 2011
Nous remercions les électrices et les électeurs qui ont apporté leurs suffrages aux candidats du Mouvement Démocrate.
La forte abstention nous incite à demander à nos concitoyens d’aller voter dans chaque canton pour le candidat le plus proche de nos valeurs démocrates et de notre projet.
POUR UN VOTE REPUBLICAIN !
Face à la présence de candidats FN au second tour des élections cantonales, il faut faire des choix nets et tranchés.
Nous appelons les électeurs à un vote républicain contre le Front National dont les idées sont dangereuses pour notre pays.
Certains souhaitent rendre ce parti fréquentable, en faire un parti avec lequel ils pourraient travailler à l’avenir, faire « entrer le loup dans la bergerie »...
Nous condamnons ces petits calculs électoraux et nous nous opposons à ceux qui jouent un jeu dangereux pour la démocratie
Nous n’avons et n’aurons jamais aucune complaisance à l’égard du Front National et de ses thèses.
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L’expression politique est formidable puisque au travers d'un
mot, d'une expression, d'un résultat, vous aurez autant d'interprétations que de sujets. Si cela est gratifiant au niveau de la capacité sémantique et le faire valoir, cela ne peut pourtant être
admis au sein d'une même famille.
Pour se comprendre et agir ensemble, chacun des membres d'une même famille doit posséder les mêmes codes. Ainsi si une voix représente un vote, ce que dit cette voix doit
être compris dans le même sens par chacun des membres qui composent la famille.
C'est d'abord cela et lors du congrès de Lyon en 2006, que nous avions déclaré en nous affranchissant clairement tant de ceux qui sont à notre droite que de ceux qui sont à notre
gauche. Ainsi ce sont les autres qui se situent par rapport à nous et non l'inverse ! Et nous affirmions notre volonté d'être un parti libre et
indépendant !
Alors non, le MoDem n'est pas mort parce que nos idéaux sont toujours là et bien vivaces.
Quand ces idéaux sont clairement exprimés, quand ces idéaux sont portés par un candidat dont la sincérité est reconnue au premier coup d'oeil (et non autoproclamée) et bien, il se passe ce qui
s'est passé en aquitaine !
Le Modem dépasse les 10% et cela avec très peu de moyens.
Imaginez la capacité en rayonnement de notre parti, si nos idéaux étaient clairement exprimés, portés sans fard, avec fierté par des personnes dont la sincérité serait reconnue au premier coup
d'oeil !
In fine, ce score de 4% est sans doute une chance à saisir car il va, je l'espère, permettre à la sincérité de s'exprimer et ainsi de ne plus attirer ces petites mouches collantes qui ne sont que
poison.
Je l'affirme, par cette sincérité retrouvée, notre parti sera celui qui portera l'espoir de cette société plus juste, plus humaine, plus fraternelle dans laquelle le mot Equité
brillera comme les mots Liberté, Egalité et Fraternité.
Si cette sincérité est retrouvée, nul doute que nous serons les moteurs de l'alternance à ce régime qui ne sait manier que la brimade de ceux qui sont les plus exposés à la chute
sociale et notamment de cette drôle de classe moyenne qui paye tant sans rien espérer en retour des euros versés..
Si j'ai écrit ce préambule, c'est d'abord pour rassurer et réconforter toutes celles et tous ceux qui ont été blessés, meurtris par le résultat du premier tour !
Depuis mercredi, je reçois de nombreux appels, de nombreux mails et même quelques mots manuscrits pour savoir quelle est ma position pour le second tour et donc quelle serait
ma consigne de vote !
Tout d'abord, je vais vous faire une confidence.
Je n'ai jamais aimé le mot "consigne" car cela suppose à l'autre, le déni de la réflexion, le gommage du sens critique, la nécessité de suivre une sorte d'ordre imposé.
J'ai toujours considéré au contraire qu'il nous fallait aiguiser au mieux le sens critique et faire en sorte que chacun d'entre nous puisse posséder les "codes", ceux qui permettent de donner le même sens au mot et donc de comprendre la même chose. La démocratie c'est pour moi, aussi cela : permettre le partage
du savoir et l'exercice du sens critique par chacun du "mal
appris" au plus lettré !
Certains, se disant encore du mouvement démocrate ont déjà donné des "consignes de vote" et
cela est d'autant plus cocasse que ces "certains" sont les "décalés superbement recalés lors du premier tour " ! Manière de
vouloir faire croire au travers des mass media, sources de leur désir de lumière et flatterie d’ego, qu'ils existent encore alors qu'ils ne sont plus, un peu comme ces poulets à qui l'on coupe la
tête et qui continuent de courir (intéressant d'observer leur trajectoire !)
Je ne donnerai donc aucune consigne de vote mais j'appelle chacun à user de son sens critique.
Les projets sont désormais connus, les professions de foi sont arrivées dans chacune des boîtes aux lettres.
Pour aiguiser le sens critique et permettre le choix éclairé, je veux rappeler quelques éléments :
1. L'abstention, si je peux la comprendre, signifie
qu'on laisse les autres agir à sa place. Et une abstention importante donne toujours une prime aux partis extrêmes.
2. Le vote sur papier blanc
ou sur papier orange peut voir du sens s'il est massif, car les bulletins sont comptés. Mais ils ne sont guère comptabilisés et sa signification disparaît ;
3. Les domaines de compétence
de la région sont clairement définis et limités par la loi. Il est intéressant à ce sujet de savoir si telle ou telle proposition relève du champ de compétence régional.
Ainsi quand la liste décalée du premier tour proposait que "pour garantir un accès médical, la région financera les étudiants s'engageant à exercer au
moins dix ans là où il manque des médecins"(sic–voir profession de foi des « décalés »), il était certain de considérer cette proposition
comme farfelue.
C'est méconnaître outre les normes de la médecine libérale en France,
la réalité actuelle de l'exercice de la médecine générale.
Ce n'est pas parce qu'un financement sera apporté aux étudiants en médecine (d'ailleurs de quoi ? du droit d'inscription en faculté ? du gîte et couvert ?) que nos concitoyens
pourront espérer une médecine générale de proximité.
Il convient à cet égard de se reporter aux conséquences de la loi du 13 août 2004, de la convention médicale de janvier 2005, de la mise en place des franchises médicales et plus récemment de la mise en place de la loi dite HPST dont
l'une des orientations est justement la concentration plus que l'idée de proximité. Ceux qui vivent sur Lyon constatent et constateront les effets pervers de cette concentration de moyens
volontiers excentrée mais qui a de fait supprimé la proximité du service de soin, notamment au niveau de la radiologie et bientôt au niveau de l’hôpital public puisque bientôt l’Hôtel Dieu verra
sa vocation hospitalière historique gommée.
Ainsi au travers de cette proposition scintillante, il n'y avait qu'ignorance du sujet et mépris de l'électeur ! Pas étonnant que le citoyen éclairé ait recalé le
décalé !
4. Une réforme des collectivités territoriales va se mettre en place en 2014 et nul ne sait clairement ce qui restera des compétences dévolues aux régions et départements.
On aurait pu espérer avoir quelque réponse de la tête de liste UMP du Rhône, puisque membre du gouvernement Sarkozy -
Fillon. Les silences sont ainsi des réponses utiles à la réflexion !
Je veux remarquer aussi la complicité des media sur l’absence de réponse à cette question
fondamentale.
Aussi, je vous conseillerai ce week-end de ne pas divertir votre réflexion par les media : TV, radio, journaux (sauf samedi soir pour suivre le match France Angleterre du Tournoi des Six Nations), de lire et d’analyser, crayon à la main, chacune des propositions exprimées.
Relèvent-elles oui ou non des compétences de la région ?
Pourront-elles être pérennes malgré la réforme territoriale de 2014 ?
Sont-elles réalisables concrètement ou ne sont-elles qu’apparence marketing ?
Ces quelques éléments de réflexion peuvent permettre à mon sens de faire un choix éclairé et non de
consigne !
Lyon ce 19 mars 2010
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Ainsi on allait voir ce qu'on allait voir !
Notoriété orchestrée versus le "trop simple" idéal de notre doctrine politique !
Et bien c'est clair !
Le brillant et pétillant décalé a été recalé et ce de bien belle manière !
(Espérons que le tabouret mis aux enchères sur
ebay puisse couvrir tous les frais qui risquent de ne pas être remboursés !)
Déjà, alors que tous les bulletins ne sont pas encore dépouillés, certain de notre fédération (en cinquième position sur la liste décalée) déclare dans les media locaux, sans en avoir honte que le Modem est mort et ne sachant comment se raccrocher devant pareille énormité, évoque la nécessité de poursuivre « les démocrates » !
Heureux ceux qui auront saisi la substantifique moelle à l’instant « T » de cette déclaration !
Rejeter ainsi la responsabilité de ses insuffisances ou incompétences sur autrui et notamment son propre parti est une marque de qualité à analyser avec
sérieux, surtout pour quelqu'un qui a toujours la main sur le coeur indiqué vouloir soi-disant faire de la politique autrement ! Jouer ainsi des postures confine à la mascarade et nul
doute que cela explique le fort taux d'abstention (y compris dans ce qui est nommé, non sans fierté, fief ou territoire !).
Les responsables de cette aventure sont ceux qui n’ont eu de cesse de vriller la barque que les militants sans grade mais idéalistes essayaient de remettre à flots après le maelström des
municipales de 2008 !
Qu'ils l'assument donc et agissent en conséquence !
Et pourtant que de
mises en garde et ce dès notre université de rentrée !
Mais n’y a-t-il pas de pire sourd que celui qui ne veut entendre ?
La politique ne serait-elle qu'un jeu ou un moyen de faire le beau et augmenter une quelconque audience personnelle, voire s’assurer quelques misérables prébendes !
La politique pour moi est d'abord affaire de convictions portées sur une base d'idéal solide.
Autour de cela seulement peut se construire un projet qui sera non pas affaire d'opportunisme mais de fidélité à ce que l'on croit juste et bien.
Et alors enfin, on peut évoquer la ou le meilleur candidat pour porter la flamme !
Certains m'ont ainsi toujours considéré comme un idéaliste attardé, d'autres et notamment la presse locale des années 80-90 me gratifiaient du qualificatif affectueux de "don quichotte exotique", mais moi je m'espère toujours en
utopiste révolutionnaire et je ne désespère pas de la "cause" que je défends depuis plus de 20 ans au sein de notre parti quelque soit le nom qu'il ait porté depuis "la Plaine de 1793" en passant
par le creuset du Sillon de Marc Sangnier ou du personnalisme communautaire développé par Emmanuel Mounier pour arriver au Mouvement Démocrate après avoir été MRP, CDS et UDF !
Or nombreux sont ceux qui, comme moi, se sont investis au travers du projet d'espoir de 2007, ne rêvant pas d'un petit désir d'avenir personnel mais rêvant simplement à une société plus humaine,
plus chaleureuse, plus juste, plus libre dans laquelle tout compatriote sache qu'il ne sera jamais laissé pour compte sur le chemin ou pire comme solde de tout compte (il me revient en écrivant
cela et avec horreur, ce que le très "gaulliste social" Philippe Seguin avait osé théoriser par "le volet incompressible du chômage" !)
C’est pourquoi et sans attendre, je vais demander aux instances nationales de convoquer des Assises départementales, de les poursuivre par des assises régionales et d’avancer le Congrès statutaire pour Octobre (ce congrès doit mettre fin à la question de l’UDF et de Cap21 qui restent encore des entités distinctes mais associées au Mouvement Démocrate, comme cela avait été prévu au Congrès de Villepinte en 2007).
Il me semble temps que chaque militant soit enfin écouté dans ce qu’il ressent et ce qu’il porte en convictions vraies !
Il me semble temps que notre parti se débarrasse des faux semblants et des cercles d’initiés (où tout repose sur le bouche à oreilles et notamment celles du premier cercle ! )
Il me semble temps qu’après la « mise en selle » désordonnée des municipales puis le « gadin » des européennes et en attente du qualificatif équestre du « score » d’aujourd’hui (sans précédent) de notre famille politique, notre parti se soude non autour des aspirations même légitimes d’un homme à destinée mais de l’idéal premier de notre famille de pensée.
Cela suppose une vraie direction et un vrai cap !
Que celles et ceux qui approuvent mon analyse écrivent non sous forme de lettre collective mais personnellement aux instances nationales pour exiger cette direction
vraie et sincère ainsi que la définition du cap !
Peut-être serons-nous lus et entendus pour réparer à temps notre barque des dégâts provoqués par tous ces opportunistes en quête de gloire et permettre au projet d’espoir de 2007 de se concrétiser en 2012 !
Lyon ce 15 mars 2010
jcj
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Nous sommes dans un pays vraiment extraordinaire !
Il vaut mieux en effet pour être informé de ses missions, avoir un œil sur les media (presse écrite et audiovisuelle).
Ainsi, depuis la semaine dernière, les lecteurs, auditeurs et téléspectateurs ont appris que désormais les généralistes toujours appelés médecins traitants pourraient vacciner contre le virus de la grippe AH1N1v, à leur cabinet.
Or, il me semble que pareille information aurait dû mériter une communication directe du ministère de tutelle auprès des nouveaux missionnés ! Il n’en est rien !
Je n’ai reçu aucune information officielle par lettre tant du ministère de la santé que de l’assurance-maladie, m’informant de cette mission nouvelle et désormais possible selon les media !
Quel est le dispositif choisi pour me faire approvisionner en vaccins ?
Ai-je le droit (ce qui me semble être un devoir de responsabilité) de prescrire le vaccin que je souhaite ?
Comment et ce de manière concrète, sera assurée la traçabilité du processus vaccinal dont je serais par mon acte responsable ?
Je passe sur la rémunération car dans cette mission que je considère de service public, je ne vois aucun inconvénient à l’assurer gratuitement !
Nous sommes donc encore une fois dans une opération de marketing politique !
Published by jcjos - … - La Santé : un droit pour tous !
Début décembre je recevais un mail d'un de mes anciens patients. Je lui ai répondu aussitôt et je me suis dit que ma réponse pourrait faire l'objet d'un article. J'en avais espéré la publication dans mon quotidien favori auquel je suis abonné depuis plus de 20 ans mais sans doute mon mail a dû passer en "pourriel". J'aurais dû l'adresser par voie postale. (Je vais sans doute le faire.. et on verra bien ...)
Cher Patient,
Je vous remercie de m’avoir fait part de vos interrogations par votre mail reçu ce 3 décembre que je reproduis in extenso mais de manière « anonymisée » car vous me donnez ainsi une occasion particulière d’expression sur ce sujet brûlant et je vous en sais gré. Et quel plaisir personnel en constatant votre souvenir de votre ancien médecin de famille et de la confiance que vous continuez à lui accorder, alors que vous avez quitté Lyon depuis quelque temps déjà.
« Bonsoir, Nous avons été sollicités par le collège pour faire vacciner nos enfants. Bien que défavorable dans un premier temps, nous nous posons quelques questions au regard de la campagne de vaccination fortement relayée par les médias. Certains médecins déconseillent cette vaccination ! Quelles en sont les raisons ? D’autres professionnels de la santé la préconisent expressément ! Pourquoi cet empressement ? Qu’en pensez-vous ? Quelle est votre position sur ce sujet ? Que devons-nous faire ? Que nous conseillez-vous pour nos enfants ? Et pour nous-mêmes ? Dans l’attente de vous lire, »
Je vais tâcher de vous répondre au mieux en reprenant chacune de vos questions.
1. Tout d'abord de quoi s'agit-il ?
Il s'agit d'un virus de la grippe, vaste famille appelée Influenza, du groupe et de la souche H1N1. Cette souche existe depuis longtemps d'ailleurs et si vous avez la curiosité de
regarder la composition du vaccin contre la grippe dite saisonnière, vous verrez qu'il y a une souche H1N1.
Ce virus a la particularité, fâcheuse au demeurant d’être très contaminant et de toucher des personnes jeunes, en bonne santé et sans antécédents particuliers. C’est à mon sens cela qui a justifié une telle ampleur de la part de tous les gouvernements, puisque c’est notre jeunesse et nos forces vives de demain qui sont exposées à un risque vrai. Et là nous rentrons aussi dans une dimension politico-économique vraie.
Ce virus a été isolé dès l’année dernière et naturellement vu les progrès considérables en virologie, il n’a pas fallu beaucoup de temps pour réaliser un vaccin spécifique au H1N1v. Sachez que le processus de fabrication est heureusement bien rodé et que la notion de temps n’est plus un critère de réflexion utile.
Donc nous avons un virus et un vaccin. Mais il y a de fait trois sortes de vaccins qui ont été fabriqués selon l’empressement ou la volonté de tel ou tel de l’industrie pharmaceutique d’être les premiers et de remporter un marché.
Première sorte de vaccin : celui à base du virus entier mais inactivé (ce que l’on peut voir au niveau de la rougeole ou de la rubéole). Il provoquera par nature une réaction secondaire reflétant la maladie à minima dont on veut se protéger (exemple de l’éruption possible 15 jours après l’injection par le ROR).
Deuxième sorte de vaccin : celui à base des fragments antigéniques. Celui-ci est donc plus « pur ». C’est le cas par exemple des nouveaux vaccins existants (grippe saisonnière…). Afin d’augmenter la réaction antigène – anticorps et le processus immunogène, des adjuvants peuvent être associés (exemple du vaccin contre l’hépatite B mais aussi de ceux que l’on a au niveau du quintavalent ou de l’hexavalent) Ces adjuvants sont en général à la base d’effets secondaires propres.
Troisième sorte de vaccin : celui à base de fragments antigéniques et sans adjuvant. C’est a priori celui qui aura le moins d’effets secondaires et qui sera pratiqué chez les femmes enceintes et les nourrissons.
2. Pourquoi un tel emballement médiatique ?
Les mauvaises langues pourraient dire que mettre cette affaire en gros plan, permet à nos gouvernants de taire les effets de la crise sociale et économique que la classe moyenne en particulier subit. Je pense aussi, que comme le coq, le gouvernement ne voulant pas risquer une seconde affaire « canicule » et ayant dans ses cartons et ses casernes du matériel en péremption à partir de septembre 2009 (en stock depuis la menace épidémique du H5N1 (grippe aviaire), a fait donner l’artillerie lourde (cocorico !). Les journalistes comme à leur habitude depuis quelques années n’ont fait que relayer les informations distillées par le gouvernement sans exercer ce pourquoi ils ont été formés, c'est-à-dire leur sens critique. Alors pourquoi tant d’empressement aujourd’hui ?
Mon analyse est la suivante et je ne sais si elle juste mais elle me parait recevable. En effet, il faut savoir que chaque année et depuis plus d’une décennie, il est « offert » aux personnes âgées et à risque particulier (diabète, asthme etc..) un bon pour la vaccination contre la grippe saisonnière. Cette commande est ainsi programmée d’une année sur l’autre.
Si d’aventure, le gouvernement avait donné l’AMM (autorisation de mise sur le marché) dès la production des différents vaccins contre le H1N1v, nul doute que personne ne se serait vacciné contre la grippe saisonnière. Ce qui aurait constitué un gâchis considérable et une perte économique. Je pense donc que c’est sciemment que le gouvernement a mis en sourdine sa communication sur le sujet dès fin août afin que la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière puisse se faire comme chaque année.
Quant à l’organisation de la campagne de vaccination de masse, ayant cédé à certaines injonctions du Samu, cela a été dévolu au niveau civil, alors que lors de la menace « grippe aviaire » tout cela était confié à la rigueur militaire, seule à mon sens capable de faire face avec efficacité à une telle menace. Si bien que à défaut d’organisation, nous avons aujourd’hui des actions désordonnées.
Dans cette organisation, les médecins généralistes ont été écartés immédiatement alors que lors de la menace aviaire, ils y étaient associés. Cela est assez évident à y regarder de plus près. En effet, il s’agit simplement de la notion même de la responsabilité prise lors de tout acte. Si un généraliste doit injecter quelque chose il sera de toutes façons décideur de ce qu’il doit injecter ! Et bien évidemment, il aurait prescrit le vaccin fragmenté sans adjuvant pour le bénéfice de son patient en terme de tolérance.
Or n’oublions pas que le gouvernement et on ne sait pour quelles raisons vraies (une commission d’enquête parlementaire a été demandée mais sans écho) avait déjà commandé 94 millions de doses vaccinales auprès de quatre laboratoires (Baxter® –Glaxo® – Novartis® et Sanofi Pasteur®). Or depuis Juillet, tout le monde sait qu’une seule dose suffit ! D’autre part, une vaccination de masse afin de minimiser les coûts pouvait justifier le conditionnement du vaccin en multi dose et c’est ce qui délibérément a été choisi. Cela est important à considérer car c’est l’argument massue que le gouvernement oppose aujourd’hui aux représentants des syndicats de généralistes pour ne pas les associer à la campagne de vaccination. Or le conditionnement multi dose expose et on l’a vu récemment, à des erreurs (surdosage à l’injection) et aussi à un risque infectieux plus important de fait. Cela étant au cas où le gouvernement viendrait à reconsidérer sa posture méprisante envers les médecins généralistes et de famille, en souhaitant les associer à la campagne de vaccination, au vu de la sacrée pagaïe actuelle, il se poserait toujours cette question de responsabilité de l’acte médical que j’évoquais supra. En tout état de cause, je pense que l’association des généralistes ne pourra se faire désormais sans cette exigence : le devoir et le droit de la prescription raisonnée comme lors de tout acte médical.
3. Vous avez effectivement pu entendre que des médecins s’opposaient à cette vaccination. Je dirais sans être méchant qu’il y a toujours eu dans notre corporation des « médecins » opposés à toute vaccination et qu’ils sont souvent la caution de mouvements sectaires existants. Et comme une tribune peut s’ouvrir alors ils enfoncent la brèche.
4. Pas assez de recul ? Cette question n’a pas de sens et rappelons nous simplement que nous avons le même recul que lors de la mise sur le marché du vaccin contre la grippe saisonnière.
5. Effets secondaires ? Oui mais ils sont inhérents à toute thérapeutique mais mathématiquement amplifiés en raison de la vaccination de masse (cf l’exemple de la campagne de vaccination contre l’hépatite B dans les années 90). On pourrait limiter ce risque d’effets secondaires en ayant le choix de la prescription mais nous n’avons pas le choix vu que c’est le gouvernement qui décide de ce qu’il injecte. Sachez que les pharmacies ne peuvent en commander et ce par ordre !
6. Par ailleurs et il faut le dire aussi, si nous n’avons que peu de chances d’être champions du monde de football, notre pays sera sans doute le champion du monde de cas recensés. Or il faut savoir que depuis juillet, il nous est impossible de savoir si il s’agit véritablement du variant H1N1v, les généralistes n’ayant pas le nécessaire en terme de dépistage rapide (TDR) et les laboratoires ayant eu ordre de ne pas effectuer les prélèvements, (cela étant dévolu aux seuls services hospitaliers dits d’urgence. Mais il faut savoir que depuis deux ou trois semaines plutôt, les services hospitaliers seuls habilités par ordre gouvernemental à prélever ne le font plus !!! Ce qui veut dire que tout ce qui ressemble à une grippe (fièvre et toux) est recensé comme H1N1v.
Mais ce que le gouvernement n’avait pas prévu dans sa logique comptable, est que l’épidémie surviendrait plus tôt qu’il ne l’espérait. D’où les empressements voire les avis de panique.
Tout cela étant, je pense, je crois et je le redis encore : ce virus est un virus particulier, très contaminant, moins agressif que l’on croyait mais « frappeur » de personnes jeunes et sans antécédents de fragilité. Et tout naturellement je conseille fortement de se faire vacciner en se rappelant toujours des contre-indications possibles à toute vaccination. C’est ainsi que je pense que tout antécédent d’ordre dysimmunitaire doit faire réfléchir sur la balance « bénéfice risque ». Et vous concernant, je vous aurais prescrit (si le gouvernement avait consenti aux médecins généralistes le droit de prescrire) le vaccin fragmenté sans adjuvant.
En conclusion il faut mesurer la balance « bénéfice- risque » et en toute sincérité mais aussi en toute conscience je préconise à chacun de se faire vacciner.
J’espère avoir répondu à vos interrogations) et vous remercie encore de votre confiance en vous souvenant de votre ancien médecin de famille.
Je vous transmets en pièce jointe un article paru dans la revue Prescrire® (revue indépendante de l’industrie pharmaceutique) du mois de novembre.
A Lyon ce 4 décembre
Jean-Claude Joseph www.jcjos.com |
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En me rendant à une réunion à Chaponnay, le jeudi 24 septembre 2009, j'ai écouté l'émission "On refait le Monde" sur RTL animée
cette année par Christophe Hondelatte, celui qui sait si bien remettre son blouson de cuir au sortir de son émission "Faites entrer l'accusé" quand
le générique de fin défile.
Cette émission portait sur le ressenti plus que l'analyse de l'intervention télévisée du président de la république et le souligné du mot "coupable"
ou du pléonastique "juge indépendant".
Je n'ai pu m'empêcher de sursauter (ce qui est quand même dangereux lorsqu'on conduit sur une route départementale) quand j'ai entendu cet échange que je reproduis in extenso :
CH : Comment l'avez-vous trouvé Azouz ...?
AB : Ben moi, voilà deux ans que je ne regarde plus la télé, donc je ne peux pas répondre à cette question ! (je me dis ..
c'est bien,il est honnête.. passons au suivant ..mais non )
Tout ce que je sais, c'est que ce matin en regardant Internet et les infos, j'ai vu qu'il y avait plus de 13 millions de spectateurs qui avaient regardé ça. Mais c’est incroyable ! Les
gens aiment la politique, je crois (je me dis : mais oui c'est vrai les gens aiment la politique mais pas ceux qui sont sensés la
faire) ou alors, j'sais pas, ils n'ont rien d'autre à faire ! (révélation publique de son mépris vis à vis de ce qu'il appelle
"les gens" ?).
CH : Ca vous surprend ?
AB : Oui ça me surprend, terriblement ! Terriblement ! Treize millions de français ! Incroyable !
CH : C'est vrai que c'est beaucoup !
AB : Je voudrais bien avoir cette audience moi !
Silence confus et rires de circonstance !
(je me dis : ce n'est plus du lapsus révélateur mais une vérité intrinsèque révélée..pourvu qu'il y ait l'audience dont il rêve !).
Un autre grand moment de cette chronique fut l'abord de la question iranienne et l'attitude du président français.
Je vous laisse écouter attentivement ces échanges et je ne reprendrais que la conclusion d’Anne Sophie
Mercier !
"J’ai beaucoup de mal à comprendre les arguments d'Azouz et ce n'est pas de la sagesse !"
Le lien vers l'émission : http://www.rtl.fr/fiche/5928534039/on-refait-le-monde-du-24-septembre-2009.html
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Inacceptable, indécent et insultant !
Notre système de protection sociale et sanitaire a été fondé sur un principe singulier et noble, mettant ainsi l’épaisseur du portefeuille hors-jeu.
En effet instigué par Pierre Laroque en 1947, le système dit de répartition implique la solidarité pour la maladie et l’accident de travail du bien portant au malade, pour la retraite du jeune actif au retraité, pour l’emploi de celui qui en a vers celui qui à un moment donné de son existence, s’en trouve privé.
Depuis quelques années et notamment par la dérive amorcée sous les gouvernements socialistes dans les années 80 avec l’instauration du forfait hôtelier improprement
appelé hospitalier, le principe de la solidarité dit de répartition telle que définie supra est bafoué.
Le comble est survenu lors de la campagne présidentielle en 2006 quand l’un des candidats devenu depuis président de la République a osé déclarer sans ciller qu’il n’était pas "inconcevable de
considérer l’assurance maladie comme une assurance automobile" et justifier ainsi la mise en place de franchises dites médicales.
C’est ainsi qu’aujourd’hui ceux qui sont souffrants doivent payer parce qu’ils le sont. Déjà est évoquée la suppression de la prise en charge à 100% pour les malades atteints d’affection de longue durée, et aujourd’hui il est confirmé et ce dès janvier 2010, la taxation sous couvert du mot « fiscalisation » des indemnités journalières tant liées aux accidents de travail que pour les maladies professionnelles.
Cela est intolérable, inacceptable et insultant pour tous ceux qui lors de leur activité professionnelle ont été accidentés.
Le Mouvement Démocrate ne l’accepte pas et sa réaction ne s’est pas faite attendre.
Ainsi jeudi, François Bayrou a exprimé son indignation sur les ondes face à cette nouvelle attaque de notre principe de solidarité conçu en 1947 et qui s’achemine de plus en plus et de manière
insidieuse vers le modèle où plus l’épaisseur du portefeuille sera grosse et plus le choix et la capacité du soin se fera.
Jean-Michel Aphatie : Bonjour, François Bayrou. François Bayrou : Bonjour. Alain Duhamel a souligné le volontarisme du chef de l'Etat, hier, lors de son intervention télévisée, avant l'ouverture du G20. Ceci vous a-t-il convaincu, François Bayrou ? Oui, c'était la mise en scène d'une action politique volontariste censée tout changer. Vous êtes ironique ! La seule question qu'on se pose, c'est qu'est-ce qui change ? C'est les résultats qui manquent et je dirai que les résultats manquent de plus en plus. Il y en aura peut-être, vendredi, des résultats puisque le chef de l'Etat parlait du G20 et de la réunion aujourd'hui à Pittsburgh. On verra ! Il a beaucoup accentué sur les bonus des traders, comme on dit, c'est-à-dire des gens qui sont dans les salles de marché devant leurs ordinateurs ; mais pour moi, les traders ne sont pas la cause de la crise, ils en sont un symptôme mais pas du tout la cause de la crise. La cause de la crise c'est dans le mélange des genres des banques entre leur travail de protection de l'épargne du consommateur, des comptes en banque de vous, de moi et de tous ceux qui nous écoutent, et les risques insensés pris pour faire de la spéculation. C'est ce mélange-là, protection de l'épargne d'un côté et risques insensés : un jeu comme au casino de l'autre qui a entrainé de la crise. Est-ce qu'on porte remède à ça ? Jusqu'à maintenant, non. Et donc, c'est les résultats qui manquent et je voudrais bien que ce soit aux résultats qu'on s'intéresse. Sur cette partie-là, on fera le point, demain soir, après le sommet du G20 à Pittsburgh. Le Président de la République a aussi évoqué beaucoup de problèmes de politique intérieure, il a notamment donné son accord au projet de soumettre à l'impôt les indemnités journalières versées par la Sécurité sociale aux accidentés du travail. Nicolas Sarkozy a justifié ceci par le souci de l'équité fiscale. Pourriez-vous voter une telle mesure, François Bayrou ? Sûrement pas. Sûrement pas, parce que ce que Nicolas Sarkozy - et l'UMP qui propose cette mesure - a oublié de dire qu'une personne qui est victime d'un accident du travail, c'est quelqu'un qui perd toute la partie de son salaire lié à l'activité, c'est-à-dire les primes, les heures supplémentaires, s'il en fait, et c'est une partie importante du salaire sur bien des bulletins de salaire, et il perd 40% du salaire. Les indemnités pour accidents du travail, c'est si je ne me trompe pas, 60% du salaire pendant le premier mois. Eh bien, une personne qui perd toute la partie de l'activité liée à ces primes et 40% du salaire, simplement parce qu'il a été victime d'un accident pour aller à son travail, ou à son travail, il me semble qu'il ne devrait pas être la cible de : impôts nouveaux, et c'est lui qu'on va charger. Vous voyez... L'argument de l'équité ne vous convient pas ? Non. Tout se passe comme si en France, c'était toujours les plus fragiles qu'on ciblait. Les accidentés du travail, les mères de famille à qui on a annoncé, je ne sais pas si ça se fera, qu'on supprimait l'allocation pour élever des enfants... C'est la Cour de Cassation qui a demandé une modification de la législation. Non, non, pas du tout... Absolument pas. Là, vous évoquez les retraites des mères de famille... Ah oui, pardon. Et j'évoquais l'allocation pour éducation des jeunes enfants pendant les trois premières années. Mais ceux qui sont au sommet de la pyramide, ceux qui ont de très gros salaires, ceux qui ont des revenus et des patrimoines très importants, ceux-là sont protégés par la loi, ceux-là, on a décidé une fois pour toutes qu'on ne leur demanderait aucun effort. Et c'est ce déséquilibre-là, les plus fragiles ou en tout cas, ceux qui ne le méritent pas, ciblés et au contraire, les plus privilégiés protégés que je trouve anormal. Alain Duhamel le notait, c'est un mot qui, aujourd'hui, est beaucoup commenté. Le Président de la République a utilisé le mot de "coupable" pour désigner les personnes actuellement jugées dans le procès Clearstream. Lapsus ou pas ? Comment avez-vous entendu, reçu ce mot ? Ah, monsieur Freud aurait dit que c'était un lapsus révélateur. Et révélateur de quoi ? Révélateur de l'ambiguïté de la position qui est celle de Nicolas Sarkozy dans cette affaire. Il est à la fois, partie civile, c'est-à-dire celui qui a déposé plainte et qui se plaint et le garant de la justice, et même le supérieur hiérarchique du Parquet. Eh bien, ce déséquilibre-là, cette position anormale, elle ne devrait pas être acceptée dans une république qui a des principes. Vous savez, le Président de la République ne peut même pas être appelé comme témoin devant un tribunal. Il ne peut pas être poursuivi quelque soient les faits qui lui sont reprochés. Il ne peut même pas être appelé ! Il me semble qu'il y a là un déséquilibre qui fait que naturellement, la situation qui est la sienne n'est pas normale. Et si c'est un lapsus, après tout ça arrive à tout le monde des lapsus ! Ca arrive à tout le monde. Ca n'est pas plus grave que cela. La Justice de votre point de vue, peut rendre tout de même ou faire tout de même sereinement son travail ? Ah j'espère que la Justice est suffisamment indépendante, que les magistrats sont suffisamment indépendants pour ne pas être, comment dirais-je, influencés par une décision de cet ordre. Mais c'est totalement anormal que quelqu'un puisse être partie civile et en même temps, supérieur hiérarchique de magistrats présents dans cette enceinte, des magistrats du Parquet, et en même temps garants à la tête du Conseil supérieur de la Magistrature de tous les magistrats de France. Le Président de la République a aussi évoqué l'évacuation des immigrés à Calais, mardi. Eric Besson, à votre place, justifiait cette opération par la nécessité de faire appliquer, partout sur le territoire, la loi républicaine. Comprenez-vous comme cela, François Bayrou ? J'aimerais bien que ce soit ça. Mais annoncer plusieurs jours à l'avance, une opération de police, ça veut dire que vous dites aux passeurs, aux trafiquants : échappez-vous ! Et deuxièmement, cette "jungle", comme on dit, puisque c'est le nom qu'on a donné à cet espace horrible dans lequel ils étaient, ça fait suite à Sangatte. Eh bien, vous vous souvenez Sangatte ? On avait mis en scène, on avait dit que : plus jamais ! Ce qui est frappant, c'est que la jungle c'était pire que Sangatte et que ce qu'on risque d'avoir ça risque d'être pire encore que la jungle. Il ne fallait pas évacuer ? Non, il faut garantir des conditions de propreté et de sécurité telles qu'il n'y ait pas d'espace hors droit sur le territoire national ; et dans cet espace qui serait un espace garanti et sûr, alors on pourrait faire œuvre de police, ce qui est nécessaire. Alba Ventura, journaliste au service "Politique" de RTL, a recueilli une confidence qu'elle n'a pas pu vérifier. Donc je vais le faire en direct, François Bayrou : vous discuteriez avec Georges Frèche, d'une éventuelle alliance pour les élections régionales en Languedoc-Roussillon ! Eh bien je j'ai pas rencontré Georges Frèche depuis au moins cinq ans. Et personne, chez vous, ne le rencontre ? Et personne chez moi, ne le rencontre. Pas d'alliance MoDem - Georges Frèche ? Personne, chez moi, ne le rencontre. Je veux dire clairement à tous ceux qui spéculent sur des conversations souterraines, qu'il n'y a pas de conversations souterraines sur ces affaires de régionales et qu'il est clair que ce sera une décision de l'ensemble de notre mouvement, le jour où nous mettrons la question de la stratégie pour les régionales, à l'ordre du jour. Les pendules sont à l'heure ! François Bayrou était l'invité de RTL, ce matin. Bonne journée. Auteur : Jean-Michel Aphatie |
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